Au travers de la tribune ci-dessous, François Mondello, président de la FFEA, interpelle les pouvoirs publics pour faire savoir que, dans le cadre des propositions formulées le 14 juin dernier par le Sénat pour l’acceptabilité sociale des ZFE et plus particulièrement la 9ème proposition, « La profession de l’expertise automobile peut être actrice, aux côtés du contrôle technique, pour répondre aux besoins de la proposition numéro n° 9 ! »

En tant que tiers de confiance, la profession de l’expertise en automobile souhaite agir, dans un cadre d’intérêt général, pour la mobilité durable, à l’image de ce qu’elle fait déjà dans son action quotidienne pour la sécurité routière.

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La hausse des sinistres liés au climat et le développement de l’intelligence artificielle interrogent la place de l’expert dans l’indemnisation auto.

On relèvera avec intérêt, dans cet article publié le 28 juin dernier par l’Argus de l’assurance, les témoignages croisés des assureurs interrogés qui mettent en valeur les bienfaits d’une expertise automobile sur les plans de la  : 

– juste évaluation économique des dommages ;   
– lutte antifraude ;
– transition écologique ;
– sécurité routière.

Dans le même temps, on retiendra également l’intervention du Président de la FFEA, François Mondello, qui met en évidence la différence entre un rapport d’expertise automobile et une solution de chiffrage à base d’IA. Le premier conduit à la délivrance d’un écrit au sens juridique, tandis que le second ne délivre aucun écrit, ce qui ne permet pas à l’assureur d’étayer son évaluation avec un titre (le rapport d’expertise) qui fait foi.  

Source : L’Argus de l’Assurance du 28/06/2023, article de Caroline Dupuy (réservé aux abonnés)